A l'Auberge du Vieux Maurice

Delduwath fit un clin d'oeil et un sourire vers dame Nienor qui venait d'entrer en poussant ce qui restait de porte. Il s'avança alors vers le bar en regardant d'un air amusé les seigneurs des sabres se mettre hors combat d'eux mêmes.

Arrivé au bar il se planta face à une personne qui voulait apparemment passer inapercue. Il se figea à une distance respectable, enleva ses poignards qu'il déposa bruyament seur le comptoir.

Les mains enfin libres, il s'avança vers le seigneur inconnu en position de garde.

Alors vous jouissez du spectacle? Venez y participer !

Buveur de lait-fraise Nombre de messages : 325 Date d'inscription : 23/02/2007

Il semblais qu'il n'était pas le seul, a ne pas aimé le veille homme un autre le prenait déja au collet. Alors argawean qui c'était retrouver dos à l'action parce qu'il parlait a un incoonu n'eu pas fait qu'un pas qu'il ressu un coup derrière la tête. Il se retrouva face contre terre. Il pris le temps de ce retourné et s'appercu que c'était le fourbe de veillard qui l'avait frapper dans son dos.

Il le regardait avec un petit sourir.

Et bien on dirait qu'il c'est décidé le papy,

Delduwath entrait dans la bagarre aussi se présentant face a personne, il vit arriver aussi nienor, il lui lacha a haute voix.

Tennez, voila de quoi vous amusez

Le veillard lui tournant le dos apres avoir pousser lopreche, Argawaen toujours sur le sol, lui décrocha un coup de pied au fesse qui le projeta jusqu'a Nienor. Simultanément au coup il rajouta,

Ce pervers, aurait besoin qu'une dame lui face la lecon....

Alors qu'il venait de s'occuper de Lopreche, Alifba fut projeter aussi subitement que douloureusement. Cependant la surprise et la douleur se dissipèrent rapidement, dès le premier contact à la réception. "Hmmm, quelle fermeté et quelle moelleux, quelle chaleur et quelle douceur" eut le temps de se dire le gouverneur Alifba. Mais cela ne dura que quelques secondes, le temps pour Alifba de se reprendre. Il se rendit compte alors qu'il était tombé, c'est le cas de le dire, sur une magnifique jeune fille.

Le gouverneur Alifba s'adressa alors à Maurice, qui revenait sans avoir trouvé de canne.

- Maurice, je vais avoir besoin de l'arrière-boutique.

Il se retourna alors vers la jeune fille et se mis à côté d'elle, un bras sur les épaules de la belle. Son autre main fouilla un moment dans une poche et sortit une fiole remplie d'un liquide rougeâtre.

- Très chère, je suis heureux de vous rencontrer. Ceci est l'objet que je garde avec moi depuis ma plus tendre jeunesse. Il est destiné à celle qui saura se montrer à la hauteur de ma noblesse, celle qui méritera d'être mon épouse.

Nyméria n'avais pas bougé, la situation avait dégénéré si vite, lui fesant reprendre brusquement pied dans la réalité. Elle senti soudain qu'on la tirait en arriére, elle recula suffisament pour éviter une choppe qui vint se briser à ses pieds. Elle se retourna pour voir qui l'avais tiré, c'était la serveuse qui lui fit un clin d'oeil et partit se faufiller de maniére experte au milieu de la cohue.
Il fallait arréter ça, mais comment ? Elle était trop furieuse pour réfléchir convenablement aussi resta t'elle dans son coin pendant qu'ils s'entre tuaient bêtement.

Le seigneur Argawaen lui avait envoyé un vieillard.
Décidément, le chef ne connaissait pas ses goùts, il faudra qu'elle lui enseigne.

Le vielliard ne perdait pas de temps et était loin d'être sénile.
Après l'avoir pelotée, il la prit par l'épaule, et lui demanda d'être sa femme.
Nienor n'était pas du genre à se laiser gentilment faire, etle vieillard s'en appercevrait bientôt.
Elle pris le bras qu'il avait passé par dessus son cou et lui mainteint dans le dos.
Elle lui prit aussi la fiole qu'il portait dans son autre main, la mettant dans sa sacoche.

A la hauteur de votre noblesse vous dites?
Vous ne tenez doc pas compte de l'avis des Dames et de leurs éxigeances.
Pour votre information, la seule personne qui pourr me toucher devra être digne de porter son titre de seigneur, et devra le prouver avec sa lame.

Elle força le vieillard à s'alonger par terre, le maintenant à plat ventre de son genou sur sa colonne vertébrale, toujours en maintenant le bras du renaissant en torsion dans son dos.

Et à ce que je vois vous n'êtes pas digne de moi!
Je ne suis pas de celle qu'on peut acheter avec de l'argent, je sais très bien m'en procurer seule.

Un sourire de reproche s'afficha sur son visage, à l'attention d'Argawaen.
Quelle idée avait-il eue de lui envoyer un tel individu?

Le gouverneur Alifba laissa la belle manipuler son corps, espèrant le moment qui scellerait le destin de sa vie et de celui de la douce. Il ne tarda pas à se rendre compte qu'en réalité, c'était son coeur que la demoiselle manipulait. Il profitait cependant de ce genoux appuyé sur son dos et de ces douces mains maîtrisant son bras et y voyait comme un avant-goût.

Au bout de quelques instants, Alifba se dégagea cependant de la douce emprise et se leva. Face à la belle, il prit la parole.

- Vous avez accepté mon présent si précieux. Il s'agit en réalité d'une pièce unique retrouvé dans les sous-sols de mes appartements. Cette fiole date d'une époque antédiluvienne. D'après mes services de recherches, il s'agirait d'une essence d'amour. Nous avons retrouvé avec cette fiole une étiquette qui, après déchiffrage très minutieux, a révélé les lettres suivantes : GHB. Malheureusement nous ne savons pas ce que cela signifie.

Cette parenthèse plutôt savante d'Alifba fit cesser tout combat et imposa le silence. Il faut dire que des objets aussi rares ne pouvaient qu'attirer la curiosité. L'un des gouverneurs présents se permit d'ailleurs d'approcher le sac de la belle.

Buveur de lait-fraise Nombre de messages : 244 Date d'inscription : 24/02/2007

s'approchant de dame Nyméria

Ne serait il pas temps de les arreter!!

faisant un tour de salle du regard

Les seigneusr Alifba et Lopreche ne sont ils pas de chez vous? Parce que là j'ai l'impression qu'ils se foutent sur la gueule se mit à rire un rire dépité

Les Ombres ne se batte pas entre elles, et je crois que ma soeur d'armes Nienor est énervée et c'est la plus efficace de nos combattants,et ce n'est pas bon signe, du tout!!

Passant pres du Seigneur Argawaen
Effectivement j'ai des choses à redire

puis il s'éloigna

ECOUTEZ MOI

fit une pause

je pense que l'amusement a assez duré, chacun a prouvé sa valeur!!

Organisez donc un concours! avant de reduire cette batisse en ruine!!

Delduwath vit un énergumène s'avancer vers le centre de la pièce.
Il parlait d'organiser un concours ou autre chose réglementée.

Et moi j'aime l'improvisation ! lui cria-t-il en même temps qu'il s'élançait vers lui.

Il décocha un coup du droit en direction de la joue droite.

Buveur de lait-fraise Nombre de messages : 325 Date d'inscription : 23/02/2007

Laissant ses petits gars a leur amusemant Argawean rejoint finalement dame nyméria. C'était bien cette bagarre, sa permetterais au ombres de se solidifier et de s'unifier. Arriver devant la belle dame il reprit son épée et sa cape.

Je vous remercie d'en avoir pris bien soin madame.

Puis lui prit la main

vennez on se sauvre.

il lui fit un clin d'oeil et en passant entre les gens il se faufilèrent jusqu'a la porte. Un dernier coup d'oeil, Argawean avait le sourir, puis il disparu avec nyméria a l'extérieur.

L'ombre vient lui parler mais Nyméria écoute à peine, elle ne quitte pas la scène des yeux, elle semble chercher quelqu'un d'un air anxieux mais ne le trouve pas dans la cohue. Elle s'avance un peu sérant la cape contre ellepuis elle le voit sortir de la mélée. Il l'entraine avec lui, elle remarque une bosse derriére sa tête, elle va devoir prendre grand soin de lui pense d'elle avec ravissement. Ils sortent.

Le chef lui avait envoyé un pervers, et voilà qu'il partait avec une autre femme!
Il lui fallait partir pour ne pas que son couroux ne blesse des innocents.
Elle passa derrière Delduwath, passant sa main dans son dos, avec un sourir, puis quitta l'auberge sans mots dire, d'un pas ferme et rapide.

Nouveau venu Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 28/02/2007

Hathaldir s'approcha de l'auberge d'ou il entendait un sacré chahut et quelques cris. On dirait qu'on s'amuse bien ici. Il aperçut Niemor qui en sortait. Comme Nienor avait l'air plutot contrarié il la laissa partir sans se faire remarquer.
Une fois dans l'auberge c'était une sacré cohue. Il reconnut quelques Ombres en train de s'expliquer.
Il prit une chaise et la brisa en morceau sur la dernière personne qui parlait. On s'explique avant et on cause ensuite, c'était la méthode la plus efficace que Hathaldir connaissait.

Buveur de lait-fraise Nombre de messages : 244 Date d'inscription : 24/02/2007

Alors qu 'il se relevait, après avoir reçu un coup de pied auquel il ne s'attendaitpas, une chaise vins se briser sur son dos. Seule la colère, lui permit de ne pas sentir le coup et la douleur

Il se retourna lentement, tout en étant sur ses gardes, et fit face aux deux Ombres

Votre STUPIDITE m'impressionne, ne savez vous pas que les Ombres ne doivent pas se battre entre elles!!! C'est ce qui m'empêche de vous faire traverser la porte de l'Auberge.

Venez donc m'aider à remettre cette pièce en Etat, nous reparlerons de ça chez Nous

Un frisson parcourut son échine. Il tourna légèrement la tête et apercut Dame Nienor qui sortait. Il vit alors le seigneur Hathaldir s'immiscer dans la mêlée.

Le seigneur à terre se releva, le courroux se lisait dans ses yeux.

Une ombre...vous êtes une ombre... ?

Etait-ce une ruse? Delduwath hésita et regarda le seigneur Hathaldir. Il résolu de suivre son instinct.

Je suis désolé seigneur, je ne savais pas que vous étiez des nôtres !

Il regarda dans la salle pour voir si la rixe avait pris fin ou s'il restait encore quelques velleités belliqueuses. Personnellement il aurait volontiers poursuivi l'exercice.

Nouveau venu Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 28/02/2007

Hathaldir fut surpris d'abord par la résistance du seigneur qu'il venait de frapper alors que la chaise était fracassée. Et que le seigneur se dise des Ombres. Etrange son visage ne lui disait rien et Delduwath n'avait pas l'air non plus de le connaitre.

Vous êtes des rééllement des Ombres ? Si c'est le cas cessez de vous préoccuper de l'état de cette auberge et rejoignez nous pour matter les Sabres encore debouts dans la salle.
Si c'est pas le cas essayez de nous empêcher...

Il fit un clin d'oeil à Delduwath comme pour lui signifier d'aller reprendre la bagarre plus loin.

Buveur de lait-fraise Nombre de messages : 244 Date d'inscription : 24/02/2007

Nous en avons assez fait pour montrer notre capacité de combat
Ils savent à qui ils ont affaires maintenant!!

Des affaires plus importantes nous appellent que des bagarres de rue

Vautrin qui avait reçu sur lui un seigneur, s'immobilisa et comptempla la scène, Ashitaka s'était visiblement calmer et vautrin ne ressentait pas l'envie de retourner au combat..

Il vit son chef partir au coter de dame Nyméria...

Moi qui est pris sa défense quand il s'est fait insulter de coureur de jupon.. l'aurais ptet pas tord le jeune ashitka... se dit-il en regardant ces deux personnage d'un mauvaise oeil..

Il entendit un de ses camarade d'arme parler de rangement, alors s'en plus attendre vautrin sortit de l'auberge... mais au moment de passer la porte il vit dame Mirelene qui était toujours planter là à regarder son point d'un air rêveur...

Venez belle dame, si vous ne voulez pas passer le balai je vous conseil de me suivre lui dit-il avec un sourire

Habitué Nombre de messages : 451 Date d'inscription : 26/02/2007

Il se leva tout en secouant la tete se disant"il a ke sa comme force", puis regarda le seigneur sur laquelle il était tombé, et lui fait un signe de la tete pour lui dire "ke sa arrive koi".Puis il entendi kil aurai un rangement général, donc il regarda autour de lui et vis dame Mirelène immobile au milieu de la pièce.Seigneurs Vautrin ki alla la rejoindre, elle resta immobile comme une statut. Après kelke pas j'arrivais près de dame Mirelène et lui demanda" kel personne ki lui avait lancé ce sort afin de resté immobile d'une telle manière".Elle fit un clin d'oeil afin de m'indiquer si j'avais tort et apparemment j'étais sur la bonne vois.Seigneur Vautrin me regarda tout stupéfiait.Et je courrames pour cherché celui-ci dehors mais plus personne ke faire.

ben si seigneur lopreche tomba sur un homme au casque d'acier, vetu d'une peau d'ours brune avec des taches de sang et un sabre au garnier luisant,brillant et d'une clairté si bleu qu'il éclarait 3 metres autour de lui .

On aurait dit une torche qui prenait a toute vitesse.
Ce seigneur lui demanda "pourquoi me dévisage tu?"
Et le seigneur lopreche lui répondit....

La voix de Vautrin la sortit de sa torpeur. Elle lacha la contemplation de sa main et leva les yeux vers son allié.
Lorsqu'elle comprit ce qu'il disait, elle se retourna, jetant un regard autour d'elle. La salle était sans dessus-dessous, les tables renversées, des chaises cassées, on pouvait apercevoir ici et là des morceaux de verre brisé.
Quelques Seigneurs continuaient de se taper dessus, mais le plus gros de la bagarre était passé. On ne pouvait plus maintenant que constater les dégats.

Passer le balai.. Cela ne la gênait pas. Mais elle désirait quitter cet endroit au plus vite.
De plus, elle ne voulait pas rentrer à la confrérie seule. Elle venait de comprendre pourquoi ses alliés gardaient toujours leur arme sur eux.
N'ayant pas l'habitude d'endroits hostiles, elle n'avait pas vu d'utilité à trainer celle qu'on lui avait offerte.
Mais maintenant elle le realisait, qui sait sur quoi elle pourrait tomber...

Un renaissant s'approcha d'elle. Elle ne comprit pas tout de son dialecte, mais ce devait être un de ces sorciers contre lesquels sa mère la mettait en garde. Elle fut d'autant plus persuadée de la chose lorsqu'il lui parla de sort, avant de se précipiter à l'extérieur au pas de course.

Pure instint sans doute, sans le realiser, elle prit la main de son allié, prête à le suivre le plus loin possible de cet endroit.

Le vieil Alifba, s'étant remis de ses émotions, commençait à être fatigué de ce désordre. Il faut dire qu'Alifba est un homme qui aime l'ordre, ce n'est pas pour rien qu'il fait partie des Sabres de la Justice. Il se plaisait à dire souvent : "Soyez au service de la justice, et la justice, c'est moi."

Aussi Alifba se dirigea vers une table encore debout et monta dessus. Debout, les bras levés, il attira l'attention de tous et s'exprima.

- C'est ma tournée, jus de banane pour tous !

Habitué Nombre de messages : 451 Date d'inscription : 26/02/2007

"non mon seigneur je vous dévisage pas mais surpris de vous ici",
Par la suite il retourna voir ce qu'il sa passait dans la taverne et Dame Mirelèn bouger et l'inquiétude était passé mais toujours sur l'étonnement de voir ce seigneur avec un telle aura en ville.il avait l'air puissant mais pas imbattable.
il entra à son tour dans la taverne et demanda ce qu'il c'était passé ici.
Seigneur Vautrin lui répondit.......

Vautrin regardait alternativement dame Mirelen et le seigneur lopreche... il avait du mal d'ailleur à saisir où il voulait en venir... Mirelen prit ma main mais toujours sans dire mot.

Lopreche semblait attendre une réponse de ma part..

Désoler sieur lopreche, je m'en vais au côter de dame Mirelen, demander ce que vous voulez savoir au autre occupant de cette pièce..

Vautrin entraina la belle près des chevaks..

Etes vous venu à chevak?

Bob avait regarde la petite bagarre, il reste tranquil, il voulait pas montrer ses capacité, ensuite il se léve pour s'étirer, il en avait marre de rester assis, aprés il s'assoit un peu mieux que tout à l'heure

*Un peu d'action, sa fait du bien*

Celui qu'elle avait catégoriser de sorcier, de par son étrange dialecte (désolée ) s'approcha d'elle et de Vautrin. Elle se tassa imperceptiblement derrière son allié. Elle avait eu assez d'émoi pour la journée et elle désirait quitter cet endroit au plus vite.
De toute facon, elle devait reprendre son rôle à l'auberge des Ombres.

Enfin, ils quittèrent l'auberge du Vieux Maurice et se dirigèrent vers les chevaks.

Un chevak ?
Euh oui, oui. Je l'ai laissé à l'écurie à mon arrivée... je crois.

La dame passa entre les bêtes jusqu'à trouver sa monture. Elle s'en approcha et en caressa le flanc, un peu plus rassurée, maintenant qu'ils avaient quitté cette place de cinglés. Elle pourrait maintenant rentrer à la Confrérie en toute sécurité, escortée de Vautrin.

La voilà

Elle se hissa dessus et se tint prête à suivre son allié vers la Confrérie.