A l'Auberge du Vieux Maurice

Mais toi je ne sais si tu mérite mieux qu'un trou dans le coeur...

Mettre en colère un mercenaire...tricher face à une ombre... tu auras ce que tu mérite

Sursaute en entendant la table se renverser. Appercoit les 2 protagonistes prêts à s'entre tuer et interpelle Argawaen :

- Seigneur tenez vos hommes je ne tolérerai aucune effusion de sang en ces lieux !

Ashitaka fait trois pas en arriére afin d'étre hors de porté d'un coup direct tout en restant en joue

A cette distance, il faut être aveugle pour louper sa cible et croyez moi que vous n'y survivez pas!

Je vous pries à nouveau de rengainer votre épée!

À peine arrivée à la table en compagnie du seigneur Gaurcand, le ton monta à l'une des tables de la place. Mirelen tourna la tête dans cette direction juste à temps pour voir une table voler.
Deux Seigneurs, dont l'un de ses alliés se faisait face, l'un tenant en ses mains un poignard et l'autre pointant une arbalète sur son vis à vis.

Tout se passa rapidement dans sa tête, elle se retrouva plusieurs cycles en arrière, alors que l'un des archers de son père visait la poitrine de Benn.
Elle n'avait pu le prévenir à temps, la flèche était partie, impardonable, elle l'avait tué.
Avant même qu'elle puisse lui dire au revoir, il déjà était parti.

L'histoire ne se répèterait pas, elle l'empêcherait de se faire tuer!
Les larmes l'aveuglant, elle se précipita vers les deux hommes, se placa entre Vautrin et l'arbalète, puis rouge de colère:

Il faudra d'abord me tuer cette fois, avant de l'atteindre !

Il se leva a son tour tous en souriant a la dame. QUand un fraca se fit, il se tourna et vit vautrin et ashitaka qui se préparait a faire du grabuge, cela semblait déranger la belle demoiselle. Se qui le surprit le plus ses lorsque mirelen vient s'interposer. Elle ferait peut etre une bonne ombre finalement...

Voila qui était une agréable surprise ce dit il, puis la il entendit la remarque de nyméria.

Vaudrin lache moi ce....

Il n'eu pas le temps de finir sa phrase qu,un coup de poing au bas du ventre lui fit lacher sont couteau.

A bien vous voyez, il a lacher sa lame. Donc il n'y aura pas défusion de son. Pour ce qui est des dégats qu'ils pourrait causer, j'en prenderais facture il n'y a pas de probleme, meme si ses le gars des sabres qui a frapper le premier et pour ce faire a bousculé une dame. Et puis, il ne font que discuté pour régler un différent. Au pire quelque bleu qu'ils auront tot fait d'oublier autour d,une bonne choppe. Et sa solidifira leur amitié et leur corp vous savez.

Il glissa doucement le bras autour de la taille de la rose.

Vous venez très cher?

La porte de la taverne s'ouvrit bruyamment, ce qui fit se retourner tous les seigneurs présents, à l'exception de Argawaen dont le regard semblait être occupé à d'autres tâches.

Il était là, debout, à l'entrée. Son bras était tendu vers le côté mais la porte n'était pas assez large pour que les gouverneurs puissent entrevoir ce qu'Alifba tenait. Alifba prononça alors quelques mots, alors que la salle était comme figée.

- J'ai pour vous de quoi vous satisfaire.

D'un geste étudié, Alifba tira violemment son bras qui tenait en fait une femme, sans doute une servante n'ayant pas su satisfaire le gouverneur Alifba. Cette fois-ci, Argawaen pris la peine de tourner le regard, sans doute en raison du léger gémissement émis par la pauvre mais belle demoiselle.

- Cette maladroite doit apprendre à bien servir le thé. Sa punission sera votre réjouissance.

Il la balança alors à l'intérieur de la taverne d'un geste technique et entra à son tour.

Argawean regarda la scene sous ses yeux, il avait beau être un mercenaires, cela ne voulais pas dire qu'on traitait les gens comme ca... A moins d'avoir été payer pour le faire bien sur...

Il lacha nyméria et la regarda dans les yeux.

C,est ca le genre de seigneure que vous recruter au sabre de la Justice,

Insitant sur le dernier mot

J'espere que vous ne me détesterais pas pour ce que je vais faire, mais ses plus fort que moi j'en suis navré belle dame.

Il glissa sa main le long du vissage de nyméria, enleva sa cape et son épée qu'il déposa entre ses main. Puis marcha d,un pas décidé jusqu,au nouvelle arrivant.

Moi je veux bien vous aidez a régler votre probleme mon chere,

lui dit-il avec un sourir mauvais. Il pris la jeune fille dans ses bras, la fit s'assoir, se retourna et balanca sont poing dans la figuire de alifba.

Pendant qu'Argawaen s'occupait de la jeune servante, Alifba fit signe à Nyméria, lorsque soudainement il ne comprit pas ce qui lui arrivait. De toute évidence le geste d'Argawaen étonna tous les Sabres présent. C'est qu'Alifba fait partie de ces vieux gouverneurs, un peu grincheux et grognons, mais écoutés et respectés de tous. Bien qu'il en avait aucun besoin, Alifba se promenait toujours avec une canne à la main, un signe de sagesse comme il se plaisait à le rappeler.

Alifba se leva en reprenant sa canne.

- Argawaen, ce que vous venez de faire est un terrible déshonneur . Cependant je suis prêt à accepter vos excuses à condition que vous me fassiez don de quelques jolies esclaves dont je sais prendre soin.

Il leva sa canne en direction de sa servante et simula un coup. Cette dernière savait cependant qu'elle devait se garder de trembler ou de montrer tout signe de peur, sans quoi elle exacerbait encore plus les sanctions d'Alifba.

- Quant à vous Nyméria, j'ai fait construire un chateau, certes modeste mais coquet, que je souhaite vous offrire. J'aimerais que les formalités et autres politesses soient abrégées...

Personne resté dans l'ombre d'un coin de la salle comtemplait la scène d'un regard amusé semble t il. Puis une lueur de glace passa l'ombre d'un instant dans ses yeux, bien, que n'étant pas d'un naturel colérique il n'aimait être dérangé pendant qu'il essyait de se souvenir de son passé, avant la grande catatrophe, que tous appelaint l''Erre'AHzed.

se tournant vers le vieil homme derriere le comptoir

EH VIEUX MAURICE METS EN PERCE UN TONNEAU DE GRATCH! LES BAGARRES DE SALL'OUNE FINISSENT TOUJOURS AUTOUR D UN VERRE!!!


se retournant vers les protagonistes
Alors mes Seigneurs on cherche à mettre un peu d'ambiance en ces lieux paisibles. Je suis la première Ombre a être venue dans cette partie du monde, où j'ai trouvé comme un second chez moi. Et je n'aime pas être deranger par une Bagarre.

Cependant je suis pret à y Participerceux qui croisèrent son regard, à ce moment là surent, qu'il ne plaisantait pas

Alors Bagarre ou Verre de l'amitié, de toute manière nous y viendrons, on gagnerait du temps à prendre la seconde solution

Seigneur Gouverneur affranchez dons vos esclaves! montrez leur un peu de considération et vos gens vous suivront au bout du monde, dans le cas contraire ils vous abandonneront un jour ou l'autre!

Alors Gratdh ou Mandale?

Argawaen regardait l'homme se relever péniblement avec l'aide de sa canne. Dans sa fureur du moment, il n'avait pas remarquer que l'homme était agée (le salaud ma piege oui, il la dit qu'unposte plus loin). Il s'appreter a l'aidé lorsqu'il l'entendit de nouveau... S'excusez... lui fournir des esclaves....

Déshonneur, vous ne savez pas ce qu'est l'honneur, vous frapper des femmes plus faible que vous et les traité en esclaves. Mais vous faites moin le fière lorsque vous avez affaire a plus fort partie que vous...

Un homme se levas et pris la parole, il détourna son attention quelque seconde pour l'entendre... Puis dans son champs de vision en péréphirie, il vit que le veillard menacait entre de sa cane la fille qu'il avait apporter en ses lieux. Et il se mit a parle de chose futil... Quel espece de vieux pervers sans honneur n'y savoir vivre étais-ce la....

Il regarda l'homme donc il ignorait le nom, pour moi sa sera bagare et boison ensuite mon ami. Ce n'est pas d'arriver a destination qui compte mais bien le chemin parcouru, pourquoi chercher a gagner du temps et la voix de la facilité.

Puis se retourna vers le vielle homme....

Et toi, tu vas voir ce que peuvent ressentir tes souffre douleurs, vieux pervers....

Il attrapa la cane et la brisa sur son genoux, donna un coup de genoux au bas du ventre de l'homme et un coup de coude dans son dos et tendit les deux morceau de la cane a la servante.

Je vous conseille de commencer a apprécier le parquet tous de suite ou a changer d'attitude monsieur.... quand a vos amis qui vous respect.... si il porte respect a ca... Et bien qu'il se montre, si ils ont le coeur de défendre un homme tel que vous.

Puis il se tourna a nouveau vers l'homme....

Cela vous pose t'il un probleme a vous mon cher?

Les coups portés par le gouverneur Argawaen mirent Alifba à terre. Les Sabres présents étaient comme abasourdis devant la violence et l'insolence d'Argawaen. Il n'a fallu que peu de temps pour que la servante se détourne d'Argawaen et accourt au secours du vieil et sage Alifba. Après quelques instants, ce dernier était enfin debout.

Il jeta un regard de colère en direction du tavernier.

- Et alors, que fais-tu ! Mon jus de banane ! C'est pas vrai, il faut tout le temps rappeler ici ! Tu le sais pourtant ! Je bois un jus de banane à chaque fois que je viens !

Maurice sursauta mais semblait habitué aux éclats d'Alifba. Il acquièsça et alla préparer la commande du vieillard.

Puis, Alifba jeta un regard de dédain vers les Sabres ici présents, il ne leur dit mot. Il se tourna alors vers sa servante qui venait de l'aider à se relever.

- Vas-t-en ! Je ne veux plus te voir de la journée ! Et j'exige de te retrouver ce soir... un grand soir, je te le promets !

Ayant du mal à cacher son effrois, la servante s'empressa de sortir, essuyant au passage un geste méprisant du vieux gouverneur.

Alifba se tourna enfin vers Nyméria, la regardant dans les yeux.

(hrp : na mes sais quoi ca.... ses un pervers qui vien nous livrer une fille pour qu'on la saute? Je l'étale et tous a coup ses un vieux salopard et vicieux batteur de femme.... je sauve la fille, et l'étale a nouveau, la fille vas l'aidez et repart l'attendre dans sont lit.... Et la il fait comme si j'existait plus snif.... comment vous voulez dealer avec ca.... Si j'ai bien compris ses un vieux fous, qui ne tien plus debout, qui bat ses servant et abuse d'elle et il est sénil pardesus le marcher? Et ses un seigneur de chez les sabre de la justice ca? Ses avec ca que vous allez gagner des guerre lol, na mais ses pas gérable fin du hrp)

Delduwath avait soif de gratsch et ...de compagnie. Déjà depuis l'extérieur il remarqua que quelquechose d'intéressant se passait à la taverne. Des éclats de voix et du bruit lui parvenait. Il pressa le pas, avide de participer aux réjouissances et entra dans la taverne en éclatant la porte avec le pied. Les débris de bois s'étalèrent devant lui.

D'un rapide coup d'oeil il remarqua que la rixe concernait ses confrères et d'autres seigneurs. Il sourit. Il sera bien dans cette confrérie, les activités journalières lui convenaient au mieux.

A côté de lui un seigneur venait d'assomer un pauvre hère, qui selon l'accoutrement ne pouvait être qu'un fermier.

Alors, seigneur, on choisit ses victimes parmi les plus faibles ? Venez je suis votre homme !

Et il lui décocha un rapide direct de la main droite.

Vautrin était à terre... il tourna sa tête en direction de dame Mirelen.. elle semblait mal en point.
IL devint tout rouge... et d'un mouvement rapide se releva la tête la première dans le ventre d'Ashitaka..

Sa c'est pour ta fourberie...

Lui donna un coup dans le flanc gauche qui fit tomber son adversaire...

Et sa c'est pour avoir bousculer une dame..

Aida la belle Mirelen à se relever..

Merci, camarade, votre intervention a écarter tout danger de coup mortel.

Vautrin se retourna pendant qu'Ashitaka se tenait le ventre..
Il vit son chef frapper un espèce de veillard avare...

Bien bien, les choses intéressante ne font que commencer dit-il avec un sourire diabolique

Vautrin l'aida à se relever et elle n'eut même pas le temps de le remercier, que déjà il ripostait sur Ashitaka.
Debout au milieu de 'auberge, elle regardait autout d'elle, découragée. Les coups partaient d'un coté comme de l'autre, de nouveaux venus entraient dans la place et sans se poser de question, sans raison, se joignaient à la joute. L'ambiance était à la bagarre générale.


Sans réfléchir, elle prit la direction de sortie, elle désirait quitter cette maison de fou au plus vite. Elle avanca vers la porte, en slalom, tentant d'éviter les différents rixes.
Mais arrivée à la porte elle s'arrêta. Elle avait promis, c'était sa parole, son honneur. Elle se devait de rester à la confrérie. Ne serait-ce que pour Benn.

Elle se devait d'agir en mercenaire si elle désirait qu'on l'accepte comme tel chez les ombres.

Elle regarda sa main droite comme l'air ahuri. Elle ferma le poing et l'examina sous tous les angles, indécise.
La porte s'entrouvit, quelqu'un entrait.
Sans même regarder qui c'était, involontairement elle tendit le bras d'un coup sec, frappant l'arrivant au ventre.

Puis, l'air égaré, dépitée, elle le regarda, gênée.

Oh, pardon !

Alifba commençait à trouver la situation fort déplaisante, sans compter les coups qu'il s'était pris. Il jeta un rapide coup d'oeuil en direction de Mirelen qui semble-t-il allait sortir mais Maurice, le tavernier, l'interrompit.

Mau : Voilà votre jus de banane gouverneur Alifba.
Ali : Quoi ! Tu ne vois pas que je suis occupé !

Du revers de la main, Alifba renversa le verre que le tavernier avait à la main.

Ali : Trouve-moi plutôt une nouvelle canne !
Mau : Euh, je vais essayer...
Ali : Essayer Maurice ? Essayer ? Je veux que vous fassiez, alors faites !

Le tavernier se retira. Pendant se temps, le gouverneur Alifba se tourna vers Ashitaka.

Ali : Qu'est-ce que c'est que ces plaisanterie Ashitaka ? Cesse donc ces enfantillages et apporte-nous de quoi nous amuser... Et je veux du bon, pas les danseuses minables que s'est payé dernièrement Silverberg. Il a vraiment pas de goût celui-là.

Sortant de la salle des présentations, Nienor passa devant un établissement doù on pouvait entendre une certaine agitation.
N'écoutant que sa curiosité naturelle, elle poussa la porte et s'apperçut qu'il s'agissait de l'auberge.
Une bagarre semblait s'y dérouler.
Ni une, ni deux, la mercenaire entra.

Et bien alors?
On fait une petite fête et on ne me préviens pas?

Elle avait déjà repérés quelques uns de ses camarades dans l'assemblée.
Elle mit ses gants en cuir et s'avança vers le centre de la pièce.

Alifba fut surpris par l'intervention de Lopreche, cependant, après un léger déséquilibre, il pu se ratrapper sur le comptoir, ce qui lui permit d'éviter le ridicule. Profitant de la déconcentration d'Argawaen sans doute causée par la jeune Nyméria, Alifba s'approcha d'un pas rapide et put décrocher une taloche au premier effronté. Celui-ci chut alors lourdement à terre, comme un boulet qu'on aurait fait tomber d'une table. Sans attendre, Alifba se tourna vers le deuxième impertinent, Lopreche, et lui administra une torgnole impitoyable qui envoya la pauvre ombre directement sur le dénommé Vautrin.