A l'Auberge du Vieux Maurice suite

Avant que l'aubergiste ne puisse lui répondre, une voix à sa gauche la fait se retourner.
Un jeune Seigneur, sirotant une intrigante substance rosâtre, prend la parole.
Accoudé au comptoir, il ne la quitte pas de yeux, la mettant mal à l'aise.

Rougissant à l'idée de s'être perdue alors qu'elle rentrait chez elle, elle lui répondit timidement.

Euh oui. Je cherche à me rendre à la Confrérie de l'Ombre, mais je crains de m'être trompée de route.
Peut-être en connaissez-vous l'itinéraire ?
Ou sinon, me dire où je me trouve ?

- Et bien vous êtes sur le lieu de détente des Sabres madame. Et les Ombres on en trouve des tas ici, elles vous renseigneront mieux que moi je ne suis jamais parti d'ici. Vous voyiez le type là bas ? Désigne Argawaen qui a toujours la main sur son poignard.
Bon il a l'air un peu occupé, c'est peut être pas la bonne personne finallement. Installez vous et prennez un verre en attendant que d'autres puissent vous renseigner.

Cette fois, c'est l'aubergiste qui lui répond, lui annoncant qu'elle se trouve sur le territoire des Sabres.
Voilà pourquoi l'endroit lui semblait vaguement familier, elle se souvient être déjà venu en ces lieux, en compagnie de quelques uns de ses alliés. Elle n'avait pas réellement eu le temps d'examiner la place à l'époque, car tout avait rapidement tourné à la bagarre.

Suivant du regard le geste du tenancier vers le fond de la salle, elle aperçoit avec horreur Argawaen.
La main sur son poignard, il semble en pleine altercation avec un vieux renaissant, tandis que la Dame à ses cotés tente de calmer les choses en compagnie d'un autre Seigneur.
Bon sang, de tout l'AfterEnd, il avait fallu qu'elle s'égard pile à l'endroit où se trouvait son Chef !
Elle n'aurait pas plus mal tomber.
Se retournant rapidement vers le tavernier, elle tenta de camoufler aux regards une partie de sa chevelure sous sa capuche. Peut-être ne l'apercevrait-il pas.
Puis, elle répondit à l'aubergiste, parlant rapidement, tentant de cacher son trouble.

Vous avez raison, il semble très occupé. Ne le dérangeons pas.

Puis, tentant de changer de sujet.
Vous avez du Kal'afé ? Ou du Chocolat ?

naruto toujours accoudée a se modi comptoir , avec sa modi te chope de gratzsh qui a du mal a finir , tendit l'oreille a sa gauche et vie une jeune demoiselle toute timide , voulant lentement s'en approchée il vie le regard ébahi par sa beauté du seigneur Bob Denver .
il n'osa pas pas les dérangées de peur de froisser l'un ou l'autre .
observa la sienne qui se passa bizarre ment au fond de la salle ,vis la jeune demoiselle se protégée de leurs regard , il se posa la question suivante : qui s'on t'il pour elle? eu s'en doute aura t'il aucune réponse .
l'aubergiste toujours aussi serviable , se démena pour trouvez le breuvage qu'il n a pa l'habitude de servir .

une chope de gratzsh s'il vous plait aubergiste ?

Mirelen semblait vouloir se faire toute petite. Il se gratta la tête et fronça les sourcils. Curieux quand même elle cherche à joindre les Ombres mais se cache quand elle en voit une ! Elle couvrait maintenant ses cheveux. C'est dommage une si jolie couleur et si rare en plus ! D'ailleurs ça lui rappelle quelques souvenirs, aurait-il déjà croisé cette dame ? Impossible elle n'avait l'air d'être jamais venue ici.
Il secoue la tête pour stopper ses réflexions puis répond à sa question :

- Heu pour la kal'afé je suis navré mais mon moulin est cassé. Le seigneur Alifba que vous voyiez là bas désigne l'interressé du doigt l'a jeté par terre au cours d'une de ces coléres. Faut que j'répare ça !
Alors du chocolat ? Prépare la commande et sert Naruto tout en continuant a discuter. Et pourquoi vous voullez aller chez les Ombres ? Je pensait plutôt que les gens sensés évitaient des fréquenter ces mercenaires.

Le jeune seigneur réfléchis à la route, il a connaissais, mais n'est pas sur du chemin à partir de l'auberge, avec de l'eau sur le comtoir, Bob dessine la route de l'auberge à son point favoris, la ou on voit toute les route de la région

-Je pense savoir...

naruto regarda le professionnalisme de l'aubergiste qui le servais tout en réfléchissant et répondit a la dame enface de lui .

merci aubergiste pour se breuvage désaltèrent .

Je ragardais la scène d'Alifba et Argawaen avec amusement, quand un messager vint tout gâcher... Enfin, il était porteur de bonnes nouvelles, une grande fête allait avoir lieu chez Alifba, l'occasion pour moi de faire plein de rencontre, et d'étendre ma si bonne réputation! héhé!
D'ailleurs en parlant de rencontre, l'Aubergiste accueilla une nouvelle arrivante, décidement, j'aurai mieux fait de venir plus tôt au QG des sabres...

Hé! Alifba, tu as bien dit qu'on était tous invité chez toi?? Donc même la charmante Dame qui vient d'arriver??

Je la désignais du doigt dans un large sourire de Don Juan, quant un sentimentsoulever par le regard de la Dame, m'assaillie, avais je bien fait de la signaler??

Alifba était en train de donner quelques instructions au valet. Une fois ce dernier parti, il se rendit compte que Silverberg lui parlait et qu'une bien charmante jeune femme était entrée.

- Bien sûr mon ami Silverberg, elle est invitée.

Puis se tournant vers la jeune femme :

- Très chère dame, vous trouvez sans doute que cette taverne est fort peu accueillante et que le personnel est tout ce qu'il y a de plus balourd.

Il fit un bref regard de mépris à Maurice avant de reprendre son discours.

- C'est la raison pour laquelle je vous invite dans l'un de mes chateaux. Vous vous y sentirez, j'en suis sûr, comme chez vous, et il est certain que vous y entrerez avec enchantement et que vous en sortirez avec regret... tant la vie y est plaisante.

Elle remercia le tenancier pour le chocolat et chercha à lui répondre. Lui dire qu'elle s'était égaré en se rendant chez elle paraîtrait franchement idiot. Non elle devait trouver quelque chose de plus sensé à répondre.
Le Seigneur à sa gauche la sauva de répondre. Il lui dit penser connaître la route menant à la Confrérie.
Elle l'écouta, regardant les tracés qu'il faisait du doigt sur le comptoir, mais le liquide ainsi déplacé reprennait rapidement sa place faisant en sorte que les dessins qu'il tracait disparaissent immédiatement.
Elle sourit légèrement.

Euh oui. Merci.
Je ne suis pas certaine d'avoir tout saisi, mais pour tout de suite, je crois que je vais me contenter de siroter mon chocolat.

Elle se retourna face au comptoir, prenant sa tasse à deux mains, comme si elle tentait de réchauffer ses doigts.

"...Dame qui vient d'arriver ?"

Elle baisse légèrement la tête et ferme les yeux de dépit, dans une prière muette. La question vient d'être lancée d'une voix forte et il parait improbable que personne ne l'ai entendue.
Elle se retourne lentement en direction du Seigneur qui vient involontairement (ahum) de la dénoncer, prête à affronter le pire...

...Et avec raison, puisque qu'elle voit avec horreur le Seigneur en question, debout au centre de l'auberge avec un sourire accroché d'une oreille à l'autre, qui la pointe d'un doigt qu'elle interprète comme accusateur.
Sa réaction est immédiate et spontanée. Son visage prend une couleur rosée et elle baisse les yeux au sol, dans une attitude coupable, en priant que celui-ci s'ouvre sous ses pieds et la fasse disparaître.

La question du Renaissant ne s'adresse heureusement pas à elle et elle n'a pas à lui répondre. Mais elle reste malgré tout comme une idiote, sans bouger. Elle n'ose pas relever la tête, elle n'ose pas croiser le regard de son allié.
Mais déjà, le vieux Renaissant prend la parole et lui lance une invitation.
Prenant sur elle, respirant à fond, elle relève lentement la tête. Ces gens sont des amis de la Confrérie et elle ne peut jouer les impolies.

Elle s'apprête à refuser poliment l'offre de l'aîné, lorsqu'elle le reconnaît enfin. La dernière fois qu'elle a vu ce Renaissant, il bousculait et menaçait violemment l'une de ses servantes. Elle croyait même se souvenir qu'il l'invitait dans son lit, afin qu'elle se fasse pardonner.

Aucun son ne voulu sortir de sa bouche lorsqu'elle voulu décliner l'offre. Elle ne pouvait faire autrement que de regarder l'aïeul bêtement et avec horreur tout en se maudissant d'avoir mis les pieds dans cet endroit.

Argawaen ne réagit pas et Alifba sembla se calmer. Considérant que la querelle était réglée Nyméria se détendit et remarqua qu'Ashi était parti.

Un messager arriva alors pour annoncer une fête. Quoi tout était déjà prêt ? Elle ne s'était pas doutée qu'Alifba s'était autant investit. Sa proposition avait du le ravir !

Ensuite Silv parla d'une nouvelle venue avec un sourir béa. Fesait-il la cour à tout ce qui portait une robe ? En tout cas vu la réaction de celle ci ça n'avait pas l'air de la mettre à l'aise ! Nyméria se dit qu'elle ne devaitpas avoir l'habitude des tavernes. Peut être que si elle fesait connaissance avec ses alliés son malaise disparaitrait. Elle s'approcha de l'inconnue :

- Je voit que vous avez déjà fait connaissance avec Bob et Naruto elle désigna les interressés de la tête, le vieillard très euh ... hospitalier là c'est Alifba, le charmeur c'est Silverberg et le boucher, c'est pour ça qu'il a un couteau ne vous laissez pas intimider, c'est Argawaen. Moi je suis Nyméria, et vous vous avez bien un nom ?

Une jeune Dame à l'air accueillant s'avança vers elle.
Elle se souvenait l'avoir aperçut plusieurs cycles auparavant, en compagnie du Chef des Ombres.
Elle salua d'un léger hochement de tête les clients présents dans l'auberge à mesure que la Dame les lui présentait, mais elle rougit de plus belle lorsque ce fut le tour d'Argawaen.

Je connais celui-là, c'est un allié.
Ravie de vous rencontrer Dame Nyméria,
Je suis Mirelen, - elle baissa le ton à l'annonce de son alliance, comme si elle en avait honte. - de la Confrérie de l'Ombre.

Elle ne su plus quoi ajouter.
Elle avait soudainement envie de retrouver des gens de la Confrérie, mais d'un autre coté n'avait pas du tout envie de faire la conversation à son Chef.
Elle fit cependant un effort de courtoisie et ajouta, à l'attention de la Dame.

Vous.. euhh
Vous avez une jolie auberge.

La réplique était stupide, elle le savait. Mais elle n'avait rien trouvé de mieux à rétorquer.
Peut-être devrait-elle payer ce qu'elle devait au tenancier et retourner immédiatement auprès des siens. Ceux en qui elle en était venue par la force des choses, à avoir confiance.
Mais si elle filait sauvagement, Argawaen lui en voudrait sûrement. Et qu'elle le veuille ou non, elle faisait maintenant parti des Ombres et se devaient de d'agir comme tel. Ne serait-ce que parce que ces gens étaient de très bons amis de la Confrérie.

À contrecoeur, presque malgré elle, elle résista à l'envie de fuir. Après une profonde inspiration elle se dirigea vers la table qu'occupaient le Chef des Ombres et la Dame lorsqu'elle était entrée.
Saluant son allié d'un bref hochement de tête, elle prit place, Elle avait tellement l'habitude de rester dans l'ombre qu'elle ne réalisa pas que peut-être elle dérangeait une conversation qui ne lui était pas destinée, de par son statut d'inconnue.

[HRP: Euh Bob, t'es vraiment pas obligé de me citer hein. Ton "shinomachinpowa" était parfait ]
[HRP2: Bah Shinobi powa alors.. mais pas "Mirmachin" quoi :p]

Le jeune seigneur finit son lait-fraise et en reclame un autre, il est d'humeur gourmand, en attendant de partout, les gens qui sont dans l'auberges, puis il pose son lait-fraise qui arrive

-Encore un...

[hrp: si si, pour éviter qu'on croit que c'est moi qui l'a fait. Puis c'est pas "shinomachinpowa", mais Shinobi powa]

La Dame devait avoir chaud, elle devenait de plus en plus rouge. Nyméria fit signe à l'aubergiste pour qu'il ouvre la porte afin d'aérer un peu mais celui-ci ne bougea pas d'un poil se contentant de la fixer béatement. Elle jura tout bas :

- Cette andouille comprend jamais rien !

La Dame se présenta alors. Mirelen... ce nom lui disait quelque chose, peut être avait elle déjà entendu parlé d'elle. Ou peut être confondait elle tout simplement avec un produit pour laver le linge ! Enfin peut importe puisque la dite Mirelen acheva sa présentation en donnant ses origines.
Nyméria se senti soudain stupide quand à la façon dont elle avait présenté les chef des Ombres, comme s'il était une personne sans importance. Heureusement la dame à l'air timide n'avait pas l'air de lui en tenir rigueur. Elle lui fit même des compliments avant d'aller s'installer. Nyméria la suivit en cherchant quelque chose à répondre :

- Euh vous aimez cet endroit vraiment ? Je trouve la décoration un peu vieillotte moi, j'ai l'impression de mettre les pieds chez ma grand mère et il se trouve que je ne l'appreciait pas beaucoup !

C'est ici la'auberge flash

Flash gordon Mdr c'est pas tout jeune ça

Et Flash rentra dans l'Auberge du Vieux Maurice et s'avança tout près du comptoir

En effet Flash gordon est assez agé, mais bien conservé n'est-ce pas ?

Qu'y a-t-il à boire, puis-je avoir votre carte ?

((bon aller je me lance dans le RP!! donc no critique! ))

Le seigneur armagedon, est un jeune seigneur qui veut devenir chevalier mais l'expérience lui manque!
c'est pour cela qu'il parti en quete d'aventure sur des terres inconnues.....
épuisé de plusieurs jours de route a travers les bois et plaines donc le bout est inexistant!
le jeune arma tomba sur une taverne!
il ne pensait pas qu'une taverne puisse exister dans un telle endroit!
il croyait qu'il était devenu fou a cause de son manque de nourriture et d'eau!
Mais aussi mystérieuse soit-elle il entra quand même!
et a peine rentrer dans la taverne il couru se mettre au comptoire et demanda de l'eau et de la nouritures!
n'importe quel nouriture!
Avant de servir le jeune seigneur, le tavernier et les autres personnes étants présents dans la taverne, regardèrent étrangement le jeune arma!
qui lui était complétement a côter de la plaque, voir dans les vap!
le tavernier le voyant comme cela, s'empressa d'apporter ce que le jeune seigneur lui avait demandé!
servi, le jeune arma, prit son verre et lanca pratiquemment sur sa bouche!
qui bien sur éclaboussa les jeunes demoiselles qui étaient derrière!
mais le jeune arma ne s'en préocupa pas, il était trop affamé et commenca tout de suite son assiete!

Bob regarde d'autres seigneurs rentrer dans l'auberges tout en sirotant son lait-fraise qu'il aime tant. Bob pose la main sur une saccoche et pense à son village, qui est paissible, mais qu'il aimerais voir s'agrandir.

*Bon...il faut que je vais voir dans mon palais, je dois vérifier plein de truc*

Il finit son lait-fraise, sort son argent des deux laits-fraises et le pose sur le comptoir, il se dirige vers la sortis, en rangeant le reste de son argents. Une fois dehors il récupére son chevak et part à son village

mon rp etait si horrible que sa pour que personne continu!

faut pas dire sa Arma...

Débaroule en trombe à la Taverne....

Maurice!!!
Monte les bouteilles de la cave!!
débarrasse les tables! fais de la place!
envoie chercher toutes tes serveuses!

Allez go!
C'est l'anniv à Ashi!!
Mais bouge toi donc!!

Delduwath, s'ennuyait ferme sur ses terres. Il était temps de bouger et d'être plus social que ce qu'il était ces derniers temps.
Il prit son chevak et le laissa le conduire à travers les plaines d'Afterend. Le soir venu, son chevak, finement dressé, l'amena sur les terres des sabres et se planta face à la taverne.
Il sourit et donna une tape à sa monture.

Brave bête, va ! lui murmura-t-il

Il descendit et laissa le chevak devant l'avreuvoir et le mangeoir, bien garni. il pénétra dans la taverne, une main sur ses poignards, sait-on jamais.

Devant l'assistance plus que réduite, il se détendit et s'avança jusqu'au bar.

Une choppe de gratsch... Maurice, c'est bien ça ?

En attendant l'arrivée de sa commande, il s'acouda et atendit la suite des événements.

Secret arriva en compagnie de baldrik. Iils avaient entendu parler d'un pot servit par Delduwath.

Tu as commandé Delduwath?

Voila quelques jours que Shawty ne dormait plus. Depuis que l'on avait parlé de prophetie, il avait érré dans la forêt, tuant ci et la quelques animaux pour lire l'avenir dans leurs foies.

Le troisième jour, n'ayant encore rien appris si ce n'est que que le pork sauvage avait un plus gros foie que le commun elevé sur ces terres, Shawty commençait à désesperer. C'est alors qu'une révélation lui sauta aux yeux en même temps qu'il tentait de decrypter les entrailles d'un enième pork : Il avait terriblement soif du vin d'ashi !

Il decida donc de prendre la route de la taverne de ce bon vieux maurice en espérant trouver la quelques compagnons. Il poussa la porte, toujours aussi accueillante, et vis quelques seigneurs préparant une reception. Assurément le vin coulerait à flot, alors Shawty se joignit à eux


Bien le bonjour, prepare-t-on une fête ici? Je n'ai pas reçu d'invitation mais je ne vous en veux point puisque me voila dit-il d'un air espiègle